
Frédérique Houzelle
Praticienne en Hypnose

Les bienfaits de l'arrêt
« Cela semble toujours impossible jusqu’à ce qu’on le fasse »
Nelson Mandela
Après 20 minutes :
-
La tension artérielle redevient normale
-
Le pouls redevient normal
-
La température des pieds et des mains redevient normale
Après 24 heures :
-
Le monoxyde de carbone est complètement éliminé de l’organisme
-
Les poumons commencent à rejeter les résidus de fumée
-
Le risque de crise cardiaque diminue, l’odorat et le goût s’améliorent
Après 72 heures
-
Les bronches se relâchent, la respiration s’améliore
-
La capacité pulmonaire s’accroît
-
L’énergie augmente
Entre 2 semaines et 3 mois :
-
La circulation sanguine s’améliore
-
La marche devient plus facile
-
Le fonctionnement des poumons peut s’améliorer jusqu’à 30%
Entre 1 et 9 mois :
-
La toux, la congestion nasale, la fatigue et l’essoufflement diminuent
-
La voix devient plus claire
-
Les cils vibratoires dans les poumons se régénèrent et la capacité de l’organisme, à éliminer le mucus, à purifier les poumons et à combattre l’infection, s'accroît considérablement
-
Le corps reprend de l’énergie
Après 1 an :
-
Le risque de maladie cardiovasculaire est réduit de moitié
-
Le risque, pour la femme, de contracter un cancer du col de l’utérus redevient comparable à celui d’une femme n’ayant jamais fumé
Après 5 ans :
-
Le risque de cancer de la bouche, de la gorge, et de l’œsophage diminue de moitié, tout comme le taux de mortalité lié au cancer du poumon
-
Le risque d’accident vasculaire cérébral diminue et devient comparable à celui d’un non fumeur
Après 10 ans :
-
Le risque de mortalité lié au cancer du poumon est comparable à celui d’un non fumeur
-
Les cellules précancéreuses sont remplacées par des cellules saines
-
Le risque de cancer de la bouche, de la gorge, de l’œsophage, de la vessie et du pancréas diminue les cellules précancéreuses sont remplacées par des cellules saines
-
Les risques de cancer de la bouche, de la gorge, de l’œsophage, de la vessie et du pancréas diminuent
Après 15 ans :
-
Le risque d’accident coronarien est semblable à celui d’un non fumeur